29 septembre 2013

Tupi or not tupi (in Paris)

Retour sur le modernisme de deux Brésiliens de Paris, dans un récent article de l’universitaire américain Kenneth David Jackson, « Des cannibales à Paris : le primitivisme satirique d’Oswald de Andrade et de Vicente do Rego Monteiro », paru dans l’ouvrage collectif dirigé par Vanda Anastacio, Saulo Neiva et Gilda Santos, LAtlantique comme pont : LEurope et lespace lusophone (XVIe-XXe siècle), Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, coll. « Littératures », 2013, p.65-78.
(Référence : http://www.msh-clermont.fr/spip.php?article3440.)

L’occasion de donner ici-même quelques pages, pour les amateurs, des Quelques visages de Paris du peintre (et poète) Rego Monteiro, un curieux ouvrage publié dans la capitale en 1925, en même temps que s’y imprimait la poésie de Pau Brasil d’Oswald de Andrade (à propos de laquelle Kenneth D. Jackson, s’adressant ici aux lecteurs francophones, n’a pas tout à fait actualisé sa bibliographie).